Les cinq films tournés durant les rencontre entre Parrains & Poulains du Salon du Livre de Genève 2013 sont en ligne. Vous pouvez les voir depuis le lien du site du Salon: http://salondulivre.ch/fr/auteurs/2013/parrains-poulains-0-17607 Et ici la rencontre entre Isabelle Aeschlimann et Jean-Michel Olivier:
Voici un article de Catherine Dubuis, auteur de Une Femme entre les lignes (biographie de Clarisse Francillon), et Les Chemins partagés (biographie de Cilette Ofaire), paru dans la revue poétique en ligne Le Pan des Muses, en mai 2013. Il s’agit d’un texte intitulé “Un Printemps triste et beau”, à propos des Heures de Printemps de Marguerite Burnat-Provins. Vous pouvez lire ici l’article dans son intégralité: Par une journée pluvieuse de mai dans l’arrière-pays de Cannes, une femme de soixante-sept ans entreprend d’évoquer les heures d’un printemps qui ressemble à un automne. Cette femme, c’est la poète Marguerite Burnat-Provins, recluse
Nous vous rappelons que demain 28 mai à 18h30, Rachel Maeder, auteur du polar Le Jugement de Seth, qui nous plonge dans le milieu de l’égyptologie, viendra nous présenter ce premier roman à la bibliothèque communale de Cossonay. Venez nombreux! Et profitez en, si ce n’est déjà fait, pour découvrir l’exposition itinérante des 90 ans de Plaisir de Lire, dont voici quelques photos ci-dessous!
Dans l’hebdomadaire romand Vigousse, une critique d’Alinda Dufey au sujet de Marine et Lila, premier roman d’Abigail Seran récemment paru aux Editions Plaisir de Lire: “Un récit simple et touchant, sans mystère enfoui ni action explosive ni sexe à gogo, mais qui captive le lecteur sans jamais tomber dans le mielleux” Pour lire l’intégralité de l’article, cliquez dessus…
Dans le bulletin Plume au Vent du mois d’avril, édité par la Société de Lecture de Genève, une critique de L’Aquarium de Cornélia de Preux, un “petit livre (qui) a tout pour plaire” (cliquez dessus pour l’agrandir):
En parallèle au programme Parrains & Poulains du Salon du Livre de Genève 2013, proposé par Isabelle Falconnier, et qui a consisté en la rencontre, d’abord en privé et ensuite sur la Scène Suisse du Salon du Livre, de 5 couples d’auteurs, l’un confirmé et l’autre débutant, qui sont venus faire part au public de leurs fructueux échanges, voici une publication, dans laquelle les auteurs confirmés ont confié leur expérience du métier d’écrivain, et les auteurs débutants ont livré leur récit d’une rencontre… Isabelle Aeschlimann, auteur du premier roman Un Eté de trop, y relate sa rencontre avec Jean-Michel Olivier,
Catherine Gaillard-Sarron a reçu le scribe d’argent pour son recueil de nouvelles intitulé La Fenêtre aux alouettes, au 11e concours littéraire du Scribe d’Or & Prix littéraire de la Ville de Moudon. Elle a également reçu le prix des Poètes Francophones pour les poèmes intitulés, Mon “Taiseux”, “Homm-a(n)ge”, “Le cruciverbiste et la poète”, “La danse de la vie”, “Mon coureur”, au concours 2013 : “La poésie avant toute chose” (Concours organisé par Thau-Info, le quotidien du pays de Thau (Hérault/France)) Catherine Gaillard-Sarron est également l’auteur de Un Fauteuil pour trois et Des Taureaux et des femmes, aux Editions Plaisir de Lire, que vous
À l’occasion du Salon du Livre de Genève édition 2013 (qui a eu lieu du 1er au 5 mai), L’Hebdo recense “Les Perles de la rentrée littéraire romande”: Le Jugement de Seth, thriller qui a pour arrière-plan l’égyptologie, et premier roman de Rachel Maeder, fait partie de la sélection… Découvrez l’article ci-dessous… Vous n’avez pas encore lu ce thriller captivant ? vous pouvez le commander ici…
Sur le blog de Jean-Michel Olivier, et dans le cadre du programme Parrains & Poulains du Salon du Livre de Genève 2013, une conversation entre l’auteur de L’Amour Nègre (Prix Interallié 2010, Editions De Fallois) et Isabelle Aeschlimann, auteur de Un Eté de trop: Quand et pourquoi avez-vous décidé que l’écriture tiendrait une place prépondérante dans votre vie? JMO — J’ai commencé par la musique et par la poésie. Puis, insensiblement, vers 15-16 ans, les deux se sont fondues au point de ne faire plus qu’une. Il n’y a pas de décision làdedans. L’écriture s’est imposée comme une planche de
Lu sur le blog Fattorius, de Daniel Fattore, à propos de Des Taureaux et des femmes, le dernier recueil de nouvelles de Catherine Gaillard-Sarron: “Au fil des nouvelles, le lecteur est promené dans des relations interpersonnelles et de couple qui dysfonctionnent et cahotent, jusqu’à la folie (“Monsieur Herbert”), et certaines pages de “Des taureaux des femmes” ont un petit goût amer ou dérangeant. Cela dit, l’auteur indique de façon claire que tout cela n’est pas à prendre trop au sérieux – l’onomastique des personnages, en particulier, le signale, riche en jeux de mots subtils ou directs. (…) Ainsi, tout en
